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Coronavirus: une crise majeure et globale

« Nous sommes en guerre » : le président de la République, Emmanuel Macron, a ainsi qualifié le combat contre le coronavirus. Si l’emploi du mot « guerre », même précisé comme « guerre sanitaire », est sujet à débat, il renvoie du moins à trois idées : l’épreuve majeure vécue par la nation induit une mobilisation digne d’un effort de guerre ; elle interroge le futur de l’UE ; elle est de nature à générer une autre configuration géopolitique du monde.
L’épreuve majeure que vit la nation induit une mobilisation digne d’un effort de guerre

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// tribune

Coronavirus: déclin de l’empire américain et l’ascension chinoise Cyrille Schott

IDEE. La crise sanitaire générée par la pandémie du Coronavirus révèle combien
la politique menée par le président Donald Trump depuis des années mène à un
affaiblissement des Etats-Unis face à la puissance montante de l’Asie, et de la
Chine en particulier. Quant à l’Union européenne, après une période
d’atermoiements, elle réagit en prenant des mesures importantes, condition
nécessaire pour jouer un rôle majeur sur la scène internationale.

Par Cyrille Schott, préfet honoraire de région, ancien directeur de l’Institut national des
Hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ), membre du bureau
d’EuroDéfense.

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L’Europe, ce miracle de la paix à consolider pour notre avenir !

Le miracle de la paix

Si l’Europe a permis l’éclosion de la religion, le christianisme, qui enseigne l’amour du prochain et, dans ses fondements, rejette le glaive, elle a aussi provoqué la guerre la plus mangeuse d’hommes de tous les temps, la seconde guerre mondiale, et a été, au moins deux fois, au cœur d’une guerre qui a touché le monde entier. A l’issue de la première guerre mondiale, la France voulut une paix « sévère » pour l’Allemagne : « l’Allemagne paiera ». Les cinq traités de paix, dont celui de Versailles, furent subis par les vaincus et, après la crise économique de 1929 et la montée du nazisme, les Allemands s’enflammèrent, emportés par le verbe maléfique d’Hitler, contre le « diktat de Versailles » et rêvèrent de revanche …

Par Cyrille Schott, préfet (h.) de région, ancien directeur de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ), membre du bureau d’EuroDéfense France.

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Lettre ouverte au Président de la République par Cyrille Schott

Monsieur le Président de la République, Ne laissez pas commettre la stupidité de supprimer l’ Institut national des hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice (INHESJ). Au contraire, inscrivez cet institut dans votre grand projet pour l’Europe. La décision est stupide. Parce que l’effectif de l’institut est inférieur à 100 personnes, parce que ni le ministère de I’intérieur ni celui de la Justice, soucieux de leur pré carré, n’ont voulu le défendre lors d’une technocratique réunion interministérielle à Matignon, parce que le Premier Ministre veut donner l’exemple de la suppression, pour des raisons budgétaires, des petites structures en s’attaquant à celles qui lui sont rattachées, il a été décidé de tuer I’INHESJ. En l’occurrence, comme cela aurait été reconnu « en haut lieu », « la décision a précédé la réflexion. » …

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// presse

Visite du salon des Maréchaux par André Volpelier

// voyages d’étude et visites

Saumur, Fontevraud et La Flèche

Restauration des tableaux de la Chapelle Saint Louis de l’École militaire